Initier des Premières est toujours source de créativité et d’audace qui soient ancrées dans le réel !.
Vous allez découvrir toutes les réalisations accomplies sur mon initiative dans plusieurs secteurs d’activités :
Créativité – Efficacité – Réactivité – Amitié – Telle est ma devise !.
Le Général George Patton citait “ Rien n’est impossible à condition d’utiliser l’audace ” j’y rajouterai » La passion «
1990. Première réédition de l’œuvre de Gustave Eiffel depuis la construction de la Tour Eiffel
Livre « Les 100 ans de la Tour » Editions Jean-François Guyot.
1992. Première arrivée d’un motard Philippe Rahmani sur la ligne de départ de la Formule 1 à Monaco avec le Prince Albert et 52 enfants.
1994. Première entrée d’un motard avec sa moto dans la Cour de l’Elysée reçu par François Mitterrand à l’occasion de son arrivée du Tour du Monde.
1994. Première fois que les 4 Formule 1 d’Alain Prost sont réunies pour la fin de sa carrière au Pavillon d’Armenonville
1995. Premier défilé de mode “ SAD 95 “ place des Martyrs à Beyrouth, après 17 années de guerre, avec 20 jeunes stylistes franco-libanais, diplômés de la Fédération de la Haute-Couture et de la Mode.
1995 – Première. Installer une forge au Centre Culturel Français à Beyrouth pour apprendre aux jeunes libanais à reconstruire leur pays meurtri.
1997. Premier Festival Jacques Prévert à l’étranger avec 3 arts majeurs aux Beaux-Arts d’Istanbul et à l’Institut d’Etudes Françaises d’Istanbul.
Récital de Cora Vaucaire “La Dame blanche de Saint-Germain-des-Prés “ devant 1000 jeunes francophones.
Exposition collages de Jacques Prévert & photos de Ara Güler. Collaboration Fondation Maeght.
Projection 4 films de Jacques Prévert
La seule ambition d’un créateur doit être de créer, le reste, c’est de la Merde… Ernest Hemingway
1997. Première fois que les portes de La Cité des Etoiles,, acceptent un repérage de Relations Publiques, grâce aux Cosmonautes Jean-LoupChrétien et Vladimir Titov. La Cité des Etoiles est le Centre d’entraînement des cosmonautes à 25 km de Moscou.
Devant une capsule Soyouz. de gauche à droite: Jean-Loup Chrétien, dédé, Jean-Baptiste Chrétien, Vladimir Titov et le Commandant en Chef de la Cité des Etoiles
Dans le cockpit de la station MIR. « J’ai la tête dans les étoiles »
1999 – Première opération de Relations Publiques pour Shell, (sponsor de Ferrari F1), sur le circuit privé de Ferrari à Fiorano, grâce à Jean Todt.
René Arnoux (ancien pilote F1 de Ferrari) a fait vibrer au volant d’une Ferrari 358, 50 grands clients de Shell à plus de 200 km.
2002-2003. Premier défilé de mode européen “Cumulus Fashion Tour“. parrainé par Michel Rocard, avec la participation de 44 stylistes venant de 20 pays européens présentés à :
Carrousel du Louvre
1er défilé de mode à La Triennale di Milano depuis 1931
Créer est aussi difficile que d’être libre… Elsa Triolet
2007-2008-2009. Salon du livre Dijon.
1er Salon du livre européen avec la Belgique et l’Italie
1er Prix du Premier Roman au Salon du livre de Dijon
2011 – Philippe Monnet. Navigateur
Première fois que 150 enfants des milieux bourgeois, des cités et du rural, sont réunis autour d’un héros, au Salon Nautique de Paris.
Première: 50 enfants à bord du bateau du Tour du Monde de Philippe Monnet, à Sainte-Maxime, Cannes et Monaco.
2014. Premier Festival d’Une photo,
L’affiche et la photo originale de Marie-Laure Rabé ont été mises aux enchères à l’atelier Picasso par Maître Pierre Cornette de Saint-Cyr, pour la prévention du cancer du sein.
Le jumelage a reçu 9 Prix et nomination pour son innovation à : Hong-Kong (4), Bangkok, Shanghai, Chengdu, Londres et à Cannes.
2018. Premier Café de Flore éphémère dans le Mall IFS à Chengdu. Chine
2017. Première action caritative chinoise en France Opération panda avec la donation d’une sculpture d’un panda en résine réalisée par RichardOrlinski pour l’hôpital Necker-Enfants-malades et de la vente de peluches panda ( 34 000 euros) place Saint-Germain-des-Prés.
Panda mis en place définitivement dans la nouvelle aire de jeux de l’hôpital Necker
2017. Premier Ambassadeur de Saint-Germain-des-Prés
2018. Premier Tag de l’artiste allemande de Street Art Madc jumelé à un calligraphe chinois ( 80 m ) à Chengdu
2019. Premier Comité Paris-Rive-Gauche. Président.
L’intelligence, c’est la capacité d’agencer des idées de manière généreuse et créative afin de contribuer au monde. David Servan-Schreiber
Ali, le dernier crieur de journaux de Paris, celui qui nous dit, tous les jours, depuis plus de quarante ans, « Ça y est ! Ça y est ! Le Monde est arrivé !», a failli de ne plus jamais revenir sur le boulevard Saint-Germain.
Les entrepôts du journal Le Monde ont en effet quitté Paris, s’éloignant vers Bobigny. C’était trop loin pour qu’Ali, qui est devenu quand même un monsieur âgé, puisse, dans des délais raiso…nnables, aller récupérer les quelques dizaines d’exemplaires qu’il vend dès l’heure du déjeuner. Sa pile de journaux avait déjà bien diminué : les « gratuits », dans le métro, la presse et les sites d’information en ligne…La concurrence était devenue rude, mais Ali persévérait, même pour quelques dizaines d’exemplaires.
Depuis ce déménagement, Ali disparaît petit à petit de Saint-Germain-des-Prés, dans la plus grande indifférence. C’est une profession qui s’éteint, et avec elle, un symbole.
Les étudiants de Sciences-Po se sont mobilisés en lançant une pétition qui a servi à trouver une solution pour Ali. Le Monde a répondu positivement. Et bravo aux étudiants qui sauvent les belles valeurs humaines.
» Ça y est ! Ça y est ! Ali est sauvé « , il continuera à nous donner de bonnes et mauvaises nouvelles, avec son esprit facétieux.
Mes enfants connaissent Ali depuis leur naissance, Ali fait parti de leur vie culturelle !
Ali, mon frère pakistanais au Flore
«Ça yaï : on a retrouvé le père de Zohra », Ça yaï :« Fuite des cerveaux : Johnny Hallyday quitte la France », Ça yaï :« Encore une catastrophe : la femme de Hollande estrevenue », « Ça yaï : Montebourg démissionne » etc…
Ali Akbar annonce les mauvaises nouvelles, les bonnes… mais aussi celles qui jaillissent de son esprit facétieux.
Emblème de Saint-Germain-des-Prés, ce vendeur de journaux à la criée est une figure du quartier.
La preuve : Ali a sa tête peinte à l’angle de la rue du Four et de la rue des Canettes. C’est le chroniqueur Emmanuel de Brantes qui a eu l’idée de cette opération. Pour « tisser des liens » entre les habitants d’un quartier, les riverains sont invités à désigner des « êtres aimés » de leur quotidien dont le visage est ensuite peint dans la rue. « La fresque remporte tous les suffrages. Les voisines d’en face applaudissent. Dans la rue, les gens interpellent Ali. « Mais… c’est toi sur le mur! C’est super! » « Les passants m’ont même obligé à rectifier le portrait d’origine et à peindre Ali avec sa casquette », sourit le peintre. « Si un jour on m’avait dit que j’aurais ma tête peinte sur un mur… Je ne suis pourtant pas une star, hein! Mais ça fait plaisir », lâche Ali avec ses yeux rieurs.
A 55 ans, Ali continue de sillonner les rues. Si, partout où il passe, les serveurs lui tapent dans le dos et les passants lui décochent un regard complice, peu de Germanopratins connaissent son parcours, alors, qu’il est connu dans le monde, les grands médias américains, anglais, japonnais, chinois ont écrit la trajectoire d’Ali.
Né au Pakistan, où il a commencé à travailler dès l’âge de 5 ans, cet ancien mousse débarque à Paris en 1972. Alors qu’il dort sous le pont Saint-Michel, une rencontre avec le professeur Choron, créateur de « Charlie Hebdo », le conduit à vendre la presse. « Le premier jour, j’ai vendu un journal dont le titre était Dieu existe, mais j’enc… le pape. Les gens avaient l’air choqué mais moi, je ne parlais pas français… » Peu à peu, Ali se promène entre la place de Solferino, le Luxembourg, Saint-Michel et Saint-Germain-des-Prés. «
Au début, le contact avec les gens était difficile, se souvient-il. Je sentais que je n’avais pas la bonne couleur. Des patrons de restaurants me jetaient dehors ou des dames mettaient leur main sur leur portefeuille en me voyant. Et puis, j’ai commencé à discuter avec certaines personnes et je leur donnais rendez-vous pour boire un verre après ma tournée. »
Aujourd’hui, Ali Akbar adore raconter qu’il bavarde avec Jean-Louis Debré ou Pierre Moscovici, qu’il a pris un verre avec Sophie Marceau sans savoir qui elle était, s’est baladé à l’arrière du scooter d’Edouard Baer, que Carla Bruni-Sarkozy, qu’il croisait régulièrement chez Castel, s’est levée pour l’embrasser, Ali a été naturalisé français par le bon coeur de François Mitterrand.
Des paparazzis lui ont proposé de le payer pour savoir où dînaient des personnalités. Mais il a toujours refusé. » Même s’il regrette que Saint-Germain soit devenu « un quartier de frime, avec des habits de luxe », Ali n’est pas prêt de le quitter. « J’ai acheté une maison au Pakistan, mais je me sens beaucoup plus proche de la mentalité française. Je ne me vois pas arrêter complètement ce que je fais. »
Quoi qu’il en soit, le jour où Ali Akbar abandonnera ses journaux, les nouvelles n’auront plus la même saveur à Saint-Germain.
Voici son premier livre
et le deuxième
Ça yaï …Ali, tu peux continuer à nous donner de la paix humaine dans ce monde de bruts !!!.
L’apostrophe qui manque aujourd’hui ! C’est un nouveau Pivot !
Durant quinze ans, Apostrophes s’est imposée comme l’émission littéraire de référence. Autour d’un débat thématique, Bernard Pivot reçoit ses invités et permet à des écrivains très divers de s’exprimer librement, toujours au risque du direct.
Bernard Pivot : « Pour retenir l’orthographe d’un mot, il faut l’écrire »
Président de l’Académie Goncourt.
Rien que le générique de l’émission extrait de Rachamninoff fait déjà un effet pavlovien, on se détend, on se concentre et on s’apprête à revoir les plus grands s’installer pour discuter sur le plateau de Bernard Pivot. Et l’on a une pointe de nostalgie pour ces années 1980 bénies où les plus grands défilaient à Apostrohes pour évoquer calmement et dans l’écoute attentive des autres participants des sujets qui faisaient réfléchir au delà des « affaires » politiques et des fuites sur les amours présidentielles. Tout commence par un peu sexe, après tout, il faut un peché originel, mais avec deux sociologue, le hussard Cecil Saint Laurent (Caroline Chérie) et Romain Gary la conversation ne prend pas tout à fait le tour que souhaitait Pivot. A défaut d’ »atteindre l’orgasme » l’émission évoque des thèmes sociaux et philosophiques importants. Parmi les morceaux de bravoures de ces 12 nouveaux épisodes l’on retrouve : Polanski évoquant un peu contraint et forcé sa survie du ghetto de Varsovie, l’autorité de Jankélévitch sur le plateau, et un face à face Sagan/ Barthes sur l’amour absolument bluffant. le cadeau idéal de fin d’année pour ceux qui ont eu la chance de voir ces émissions à leur passage et aussi pour ceux qui n’ont pas eu la chance de connaître l’époque où la télévision se donnait assez de respiration pour permettre d’évoquer de la pensée.
Un coffret réunit les 12 meilleurs numéros de la célèbre émission littéraire animée par Bernard Pivot chaque vendredi soir à 21 h 30 sur Antenne 2 entre le 10 janvier 1975 et 22 juin 1990.
Parmi les invités : Marcel Bigeard, Georges Brassens,Clara Malraux, Pierre Bourdieu, Bernard-Henri Lévy, Anthony Burgess, Umberto Eco, Max Gallo, Claude Lévi-Strauss, Nina Berberova…
« Je suis né par Apostrophes, je suis un enfant d’Apostrophes […] Je crois qu’Apostrophes m’a un peu sauvé la vie. » Yann Moix, Prix Renaudot 2013
La Chine d’hier et d’aujourd’hui avec Han Suyin, Lucien Bodard, Edgard Faure.
Pour le quarantième numéro de l’émission, Bernard Pivot reçoit trois invités, Edgar Faure qui est l’objet d’une biographie écrite par Daniel Colard et deux auteurs qui, à des titres divers ont longuement écrit sur la Chine : Lucien Bodard pour son livre « Le fils du consul », et Han Suyin pour son livre « Le premier jour du monde ».- Han Suyin parle, dans un premier temps, de sa vie, partagée entre la Suisse, les Etats-Unis, l’Inde et la Chine, de son métier de pédiatre qu’elle a exercé pendant 15 ans, de ses origines bourgeoise et de ses livres.- Edgar Faure présente l’ouvrage qui lui est consacré, qu’il considère comme une bonne biographie politique, et tout au long de l’émission donnera son avis sur la Chine, la révolution culturelle, Mao et le communisme.- Lucien Bodard, quant à lui, présente son dernier livre consacré à la Chine des années 20, lorsque que son père y était ambassadeur en compagnie de sa mère Anne-Marie. – Le débat entre Han Suyin et Lucien Bodard va largement dépasser les considérations littéraires, l’un et l’autre vont témoigner sur leur expérience individuelle de la révolution chinoise. Han Suyinallant jusqu’à dénoncer la fascination « schizophrène » de Bodard pour la Chine d’autrefois, alors qu’elle n’a de cesse de louer ce que fut « le grand bond en avant », sorte de nouveau modèle économique créé, selon elle, par de vrais économistes pour le relèvement d’un pays sous développé. Assez d’accord sur peu de choses, les deux écrivains le sont encore moins quand il s’agit d’évoquer la personnalité de Mao, les méthodes communistes, la dictature du prolétariat ou encore la personnalité de l’empereur Pu-Yi.
Ce deuxième volume vous permettra de retrouver, entre autres personnalités, Romain Gary, François Truffaut,Roland Barthes,Françoise Sagan, Roman Polanski, François Mitterrand, Jean-Edern Hallier,Éric Orsenna, Jean-Claude Carrière autour de thèmes forts tels que :
Mon destin, hors du commun, me plonge dans toutes les communautés de notre société.
Du rade à l'Élysée, mon engagement reste invariable. Ma curiosité, mon audace, mon enthousiasme depuis plus de cinquante ans m'ont fait vivre des histoires que j'ai décidé de raconter et de partager avec vous sur ce blog.
Vous verrez, j'en tire des leçons qui ne sont pas apprises à l'école de la République...