Les médecins décident généralement de la sortie du coma artificiel une fois que la pression dans la boîte crânienne est redevenue basse et stable. « Quand on enlève doucement la sédation et que la pression reste correcte, cela détermine l’arrêt complet du coma artificiel », avait expliqué le Pr Gérard Audibert, responsable de l’unité de réanimation neurochirurgicale de l’hôpital universitaire de Nancy. Le patient revient alors à son « état de base clinique ». Il peut rester dans le coma, cela arrive, ou bien se « réveiller » progressivement. A la sortie du coma artificiel, les médecins sont attentifs aux réactions du patient, essayant de communiquer avec lui par des stimulations verbales, des ordres tels que « serrez-moi la main, fermez ou ouvrez les yeux ». Après cette phase, « la route peut être encore très longue et on a vu des patients s’améliorer entre un et trois ans après un accident », selon l’anesthésiste-réanimateur Bernard Vigué, du CHU de Bicêtre (région parisienne). On peut être fixé sur le handicap définitif consécutif à un traumatisme crânien environ deux ans après l’accident, d’après le Pr Audibert. « Il faut prier, souhaiter et espérer qu’un miracle va se produire, qu’il va se réveiller comme si de rien n’était, comme il était auparavant », avait lancé mardi le quadruple champion du monde allemand de F1 Sebastien Vettel.
« C’est le grand prêtre de l’humour qui disparaît, en créant
Hara-Kiri avec le Professeur
Choron dans les années 1960, magazine spécialisé dans l’humour paillard, potache et polémique, il est à l’origine d’une mini-révolution dans la presse et dans la manière de rire. De nombreux humoristes lui doivent beaucoup sans le savoir… Grande silhouette de druide aux longs cheveux blancs, Cavanna n’a cessé d’écrire pendant plus de 50 ans. Journaliste, dessinateur, romancier, auteur de près de 60 livres, il a imposé un humour sans tabou ni limite, qui a influencé des générations de lecteurs.
Hier soir, belle fête pour les 10 ans du départ de notre ami Ticky Holgado.

Organisé par Djouhra, Ludo et dédé, tous ses potes se sont retrouvés O Mantra, rue Grégoire de Tours pour ne pas l’oublier. Maurice Roux a offert le cocktail , le champagne Selosse-Pajon et les vins Jean Carmet et Depardieu ont bien arrosés la soirée jusqu’à l’aube.

Jeudi 30 janvier 2014 page 16
Une usine Apple en France ?

Steve Jobs en 1984.
Le 12 février, François Hollande se rendra dans la Silicon Valley. C’est la première dois depuis trente ans qu’un président en exercice s’y rend. A l’époque, François Mitterrand était resté huit jours en Californie. Il y avait reconnu l’importance du » capital à risque » et expliquait à Pierre Salinger vouloir encourager les cadres à se » jeter dans l’aventure » de l’entrepreneuriat. Trente ans avant la révolte des » pigeons » !.
A son retour, aiguillé par Jean-Jacques Servan-Schreiber, il musclait le Centre Mondial Informatique et Ressources Humaines à Paris, où brillait Nicholas Negroponte, créateur du Medialab au MIT, le pape de l’intelligence artificielle Seymour Papert, ou encore Alan Kay, spécialiste de l’interface homme-machine.
Mais surtout Mitterrand fut littéralement » épaté » par Steve Jobs, 29 ans à l’époque, qui, invité en France, avait évoqué l’idée d’installer une usine à … Charleville-Mézières. » Elle aurait porté le nom d’Appel « , se souvient André Cardinali, secrétaire de JJSS durant vingt ans. Mais la France, privilégiant un équipement Thomson To7 dans les écoles, a poliment refusé cette implantation. » Et l’usine de Charleville-Mézières n’a jamais vu le jour …
Guillaume Grallet
Célébré le départ de Cavanna mon idole avec Facebook qui est en larmes et avec KOBO en me téléchargeant Mignonne allons voir et Les Aventures de Dieu, deux chefs d’œuvre.
Ceci iphonemft@gmail.com est mon seul courriel. Toute mon actualité est régulièrement mise à jour sur http://www.toutturpaud.fr